Pendant 72 heures ininterrompues, Invisible active un espace de célébration partagé conviant le public, 9 danseur.euse.s et un chien au jeu, à l’échange et à la connexion. Dans une complicité joyeuse, les spectateur.trice.s sont appelé.e.s à vivre et suivre le continuum du temps, aussi bien qu’à contribuer à la transformation de la pièce par diverses interventions.
Dans cette proposition, la temporalité devient maître d’œuvre. Loin d’être un éloge de l’épuisement, cet espace se veut plutôt une traversée qui met à profit la force du groupe pour dépasser des limites et des seuils, qu’ils soient personnels ou collectifs.