Avec modestie et sensibilité, Marc Boivin interprète un solo autobiographique qui met en lumière l’architecture mystérieuse de la mémoire. Avec ses bras et ses mots, il fait jaillir de l’obscurité de vibrants rayons de lumière, bâtissant la délicate architecture de l’histoire de sa vie. Le danseur chevronné échange sa virtuosité pour un humble langage du cœur, dans un dialogue avec l’obscurité et la lumière. Dévelopée graduellement pendant cinq ans en collaboration avec Boivin, la chorégraphie de Sarah Chase alterne entre apparition et disparition et célèbre avec grâce le langage du corps, un trésor de souvenirs.